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l’Association des Marocains d’Armentières et environs..Au Nord de la France ? "L’A.M.A.E" Le feuilleton continu


حقائق بريس
الجمعة 27 يناير 2017




l’Association des Marocains d’Armentières et environs..Au Nord de la France ? "L’A.M.A.E" Le feuilleton continu




Dans l’épisode précédent nous vous avons raconté que l’association des marocains d’Armentières (A.M.A.E) courrait de graves dangers puisqu’elle n’avait plus de bureau dirigeant depuis 2014.Le juge de la cour d’appel en charge du dossier a préféré une médiation entre les deux parties avant de statuer. Cette médiation entre les deux parties et leurs avocats fut fixée pour le 14 septembre 20016 à Douai dans le bureau du juge. Aujourd’hui nous allons vous raconter la suite. Le 02 juillet 2016 Me ISMI avocat de M.Benabid téléphone à Me Paweletta avocat de M.Yammi lui demandant si son client était transparent et s’il acceptait de s’assoir à une table de négociation, de répondre à certaines questions, de fournir des documents de l’association pour que l’on puisse les étudier et trouver un terrain d’entente pour le jour de la médiation. Me Paweletta avait répondu en disant que lui et son client acceptaient la proposition et qu’ils nous fixeraient rendez-vous. Le 07 Juillet 2016 le jugement du référé est tombé appuyant le premier celui du juge de fond (Aucun article dans les statuts de l’association, présenté par M.Benabid ne désigne M.Yammi comme ayant le pouvoir de représenter l’A.M.A.E en justice devant les tribunaux. Il en résulte non seulement que sa constitution d’avocat est nulle en vertu de l’article 117 du code de procédure civile, et donc aussi les actes subséquents, mais, plus largement, que ses demandes sont irrecevables sur le fondement de l’article 122 du même code. ) Le 14 septembre 2016, les deux parties se présentent devant le juge pour la médiation sans rencontre préalable comme c’était convenu. La médiation s’est conclue par la désignation d’un médiateur qui sera chargé d’organisation des élections avec des nouveaux statuts. Les deux parties doivent s’organiser et présenter chacun deux assesseurs pour former le bureau électoral dirigé par le médiateur. Mais voilà qu’une assignation en justice par d’autres membres de l’association contre le président et son bureau fait son apparition. L’avocat de Yammi se pressa d’écrire au président de la chambre chargé de la médiation d’intervenir auprès de Me LOGIER avocat de ces adhérents ayant porté cette nouvelle affaire en justice, de suspendre toute procédure contentieuse durant toute la durée du processus électoral. C’est ce qui a été fait et Me Laugier accepta de suspendre les poursuites en justice. En contrepartie Il fut accepté avec ses clients à participer à la médiation . Nous voilà maintenant trois parties plus le médiateur à la table de la médiation. Encore une fois Me Ismi conseil de M. Benabid prit les devants en convoquant pour le 15 décembre 2016, les deux avocats et le médiateur pour discuter et se mettre d’accord sur les modalités des élections. La réunion du 15 décembre s’est mal passée à cause de Me Pawletta qui encore une fois à cause de son arrogance, de sa façon à ne pas respecter ses interlocuteurs ou d’employer des discussions de vieilles chiffonnières, a irrité Me Ismi qui partit en claquant la porte. Plus tard, dans un courrier adressé à ses confrères, il fit savoir que : « C’est avec une immense joie et un grand plaisir que je vous annonce mon retrait de cette médiation et de ce dossier.» Le 11 janvier 2017 une réunion au sein de la mosquée était provoquée par le médiateur à laquelle étaient conviées les trois parties. La réunion s’est déroulée dans la fameuse bibliothèque à 32.000€ dont les rayons sont à moitié vides et que personne ne fréquente. Sur la table de la bibliothèque, des cartons ont été dressés aux noms et prénoms des personnes conviées à cette médiation, des assiettes d’amandes et de pistaches ainsi que des verres pour la prise de thé. Me. Pawletta se conduisant en maître des lieux et son client l’ancien Président de l’A.M.A.E avait organisé le tout. Même le fait d’oublier de mettre le carton de deux adhérents qui devaient assister à ladite médiation. Par ce geste, l’ancien Président et son conseil voulaient se débarrasser de deux membres ce qui a provoqué l’indignation des adhérents et par conséquent l’échec de cette médiation. Avant de se retirer de la table de médiation, M Benabid a fait remarquer au médiateur : 1°) – Qu’il n’avait plus d’avocat. 2°) — Qu’il était dans l’impossibilité de réunir les adhérents en vue de désigner les deux assesseurs. Car les locaux étaient fermés. 3°) – Pas moyens d’obtenir la liste des adhérents. 4°) – Aucune assurance d’obtenir des nouveaux statuts. Ce qui nous remettrait dans la même situation de 1997 à nos jours, soit 20 ans et toute une génération perdue. L’ancien Président souhaitait à tout prix organiser cette médiation et la mettre à son profit pour relancer le processus électoral, à savoir il a même falsifié la liste des adhérents encore une fois pour aboutir à ses fins. Devant ce manque de respect, ce mensonge et cette trahison, les adhérents ont décidé de continuer le combat mais devant les tribunaux. La plupart des adhérents de cette association demandent simplement qu’un changement radical soit effectué. Et tout ce qui est venu avec Yami repart avec Yami.

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